Voilà, ça y est. C’est ici, ce soir que je raconte cette soirée de juillet dernier. Non pas pour vous, vous n’êtes que des voyeurs, des passants qui en me lisant, m’offrent le public nécessaire à la réalisation de mon projet. Sans nécessairement le vouloir ou le savoir, c’est vous qui compléterez ce soir, l’asservissement final et total de celle que j’aime, ma soumise. Et tout ça en lisant tout simplement le récit de cette chaude soirée où mon épouse est devenue ma chose.
À chaque vendredi j’emmenais ma femme au cinéma, après quoi on passait à table dans un petit resto tout simple. Mais cette semaine, lorsque je suis rentré du bureau, elle me reçut toute nue, seulement couverte de sa si jolie robe de dentelle blanche qu’elle ne veut jamais porter quand on sort. C’est semble-t-il trop osé pour sortir! Pourtant, moi, je n’ai jamais été d’accord, mais…
Mais ce soir… Sur le coup je présumais qu’elle n’avait pas envie de cinéma et que notre soirée serait plutôt du type romance et passion dans la chambre à coucher. Mais quelle surprise! Je n’étais encore que devant la porte qu’elle me demandait d’attendre une minute pour qu’elle puisse enfiler sa cape de laine. Mais qu’est-ce?!?!?!??? Elle me fit son plus joli sourire et me dit que ce soir, c’est ainsi qu’elle avait envie de sortir. J’avoue que dans ma surprise je ne savais plus trop quoi penser. Elle était là devant moi, presque nue, avec ses seins qui pointaient et son sexe rasé, qu’on ne pouvait manquer de voir sous cette prétendue robe. Et elle voulait aller au cinéma! Je ne savais pas trop ce qu’elle avait mangé ce jour là, mais je n’allais quand même pas rater une occasion semblable!
Je l’ai conduit à l’auto, lui ai ouvert la portière, l’ai aidé à se glisser dans mon roadster trop bas et trop étroit et nous voilà partit. Seul changement au programme, nous n’irons pas au cinéma habituel. Les drames policiers ne m’inspirent vraiment rien dans les circonstances. Non, j’ai une autre idée. Je l’emmène dans un cinéma qu’elle ne connait pas. Le cinéma l’amour sur St-Laurent. J’y suis allé seul à quelques reprises et j’ai toujours fantasmé à l’idée d’y emmener ma femme. Ce soir, ca y est!
Sylvie est superbe et tellement sexy! Et elle m’annonce que ce soir, elle est ma soumise. Mon objet que je peux utiliser à ma guise toute la nuit. OUF!! Je n’y crois pas mais elle me le répète au moins dix fois en réponse à mes questions incrédules. C’est elle-même qui en a décidé, elle s’offre à moi sans aucune réserve, de son plein gré. Et elle sait très bien ce que cela veut dire, elle connait son époux. Pardon, son maître!
Nous partons donc vers Montréal, le toit ouvert et les cheveux au vent. En arrivant en ville elle me déclare d’un air moqueur qu’avec cette chaleur, la cape qui lui était salutaire sur l’autoroute, ne fait maintenant que l’encombrer. Je comprends alors qu’elle cherche mon approbation et je la lui donne sans hésitation. Elle retire donc cette chose encombrante et nous offre ce spectacle de son corps chaud qui ondule sur son siège. Quelle exhibitionniste quand même!! Elle roule des yeux, la bouche entrouverte en regardant d’un air désinvolte ces automobilistes qui circulent autour de nous! Comme ce qui doit arriver fini toujours par arriver, les camions ne tardent pas à se pointer. Sylvie prend son air gênée mais ne fait rien pour se cacher d’eux sinon qu’elle enfile ses vers fumés. Cherchez l’erreur!! Notre prochaine excursion se fera non plus au cinéma mais dans un certain parc où… mais ça c’est une autre histoire.
En arrivant au cinéma elle fait la femme soumise mais étonnée et dubitative. Elle voudrait bien avoir l’air contrainte, mais elle me fait plutôt l’air de prendre son pied à la seule idée de ce qui nous attend. Je décide de tester le sérieux de son offre de soumission et, lui tenant le bras de ma main gauche, je lui ordonne de payer le caissier. Et voilà la première rougeur qui envahie son visage!! Elle est tout simplement bandante!
En entrant elle se dirige rapidement vers l’avant, par l’allée principale. Elle se souvient sûrement de ce que je lui ai déjà dis au sujet des rangées de sièges réservés aux couples et auxquels les hommes n’ont pas accès. Ils ne peuvent que regarder et c’est ce qui permet de convaincre certaines dames et quelques couples plus réservés à risquer la sortie. En ce qui nous concerne ce soir, pas question. Et pas non plus question de la mezzanine privée où, encore une fois, seuls les couples sont admis. Je la retiens, la retourne vers moi et l’entraine vers le centre de la salle, au grand plaisir des quelques hommes qui sont déjà sur place. Ca n’aura pris que deux ou trois minutes et toutes les places étaient prises autour de nous.
Le film passait sans qu’on ne s’y intéresse vraiment et je me mis au travail sur ma soumise. Je n’eu pas à la caresser très longtemps pour constater qu’elle était complètement mouillée. Elle était assise sur sa cape qui évidemment était maintenant tachée. Je la fis s’assoir directement sur le siège. Elle a protestée du fait que ce banc avait déjà reçu sa dose de fesses et qu’il n’était sûrement plus propre. Je saisis l’occasion pour sévir. Je lui ai donc ordonné de se pencher sur le dossier de devant et de relever sa robe. Je lui ai ensuite donné sa première fessée. Il n’en fallait pas davantage pour que des dizaines de queues s’agitent autour de nous. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il y avait environ cinq à six hommes sinon davantage qui, sur les banquettes avant, empoignaient Sylvie par la tête en tentant de lui offrir leurs glands. Je me suis penché à son oreille et lui ai ordonné de ne pas en prendre une seule dans sa bouche, mais de les sentir et les caresser autant qu’elle le voulait. Elle était en transe!!
Pendant ce temps, derrière elle on s’activait à lui malaxer le cul et les cuisses. Je voyais bien qu’elle jouissait comme rarement elle ne l’avait fait et je décidais de laisser un peu de place à mes complices inconnus. J’ai attrapé mon appareil photo, me suis déplacé quelques bancs vers l’avant et j’ai pris des clichés qui devaient ensuite me procurer sur Sylvie un contrôle quasi absolu et des soirées inoubliables! Un peu en retrait, je faisais le tour de la scène et la photographiait dans ses ébats. Elle se rendit compte de mon absence à ses côtés lorsqu’en essayant de lui retirer sa robe ses amants d’un soir l’ont rassise à sa place. Son désarroi a vite fait place à l’envoutement. Maintenant complètement nue, elle a été caressée partout, par des dizaines de mains et de langues et elle due elle-même masturber plus de queues ce soir là que dans toute sa vie. C’était vraiment incroyable! Ma femme, celle qui maintenant m’appartenait et m’obéissait, était devenue pour mon plaisir une putain que tous pouvaient utiliser à sa guise, en autant que j’en décidais. Elle avait un regard animal! Elle sentait les queues, les léchait et les caressait, mais comme je le lui avais ordonné, elle n’en avait encore pris aucune dans sa bouche.
Je me suis approché pour me faire enfin voir et je constatais avec plaisir qu’elle était maintenant pleine de sperme. Elle en avait dans les cheveux, dans le visage et un peu partout sur les seins et le ventre. Je lui ai ordonné de cesser ses ébats de chienne en chaleur et de se nettoyer avec sa robe. Elle s’exécuta en me regardant de son air le plus piteux! Elle avait les yeux hagards. On aurait dit qu’elle n’était plus elle-même. Qu’elle était droguée ou perdue dans un monde parallèle. Je l’emmenais aux toilettes en la tenant par sa longue crinière maintenant collante et emmêlée et la jetais à genoux devant le lavabo des hommes. Comme elle se relevait pour se laver, je la fis se remettre à genoux en descendant ma fermeture éclair et je lui enfonçais mon membre jusqu’au fond de la gorge en lui ordonnant de me lécher et me sucer comme la bonne pute qu’elle était devenue. Elle s’exécuta et ce jusqu’à ce que sois suffisamment bandé pour remplir au maximum son palais béant.
Inutile de dire que les autres ont vite rappliqués et que ma salope fut rapidement entourée d’hommes au regard aussi animal que le sien. Je l’imaginais comme une proie en cage, offerte à des animaux sauvages! Je ne suis ensuite retiré et lui ai ordonné de prendre chacun des hommes qui étaient sur place en bouche, de leur vider les couilles et d’en boire tout le sperme qu’elle pourrait en tirer. OUF!! Quel spectacle! Elle était en furie! Elle s’est jetée comme un fauve sur le plus près et est passée de l’un à l’autre sans s’arrêter, léchant, bavant, suçant et mangeant tout ce qu’on lui présentait! Quand elle en eut fini elle était si sale et collante qu’il était impossible de l’approcher sans sentir l’odeur acre et si particulier de la semence. Elle était collante, puante, sale, mais combien encore et même davantage bandante!! Je me suis approché, me suis masturbé et lui ai éjaculé au visage, en finissant de la recouvrir de mes fantasmes. Elle a sortie la langue et s’est léchée les lèvres pour, en s’aidant de ses doigts, gouter et avaler tout ce qu’elle pouvait récupérer. Quelle soirée!!
Comme elle était encore ma soumise pour le reste de la nuit et comme les photos que j’avais pris d’elle me permettait de croire que je la contrôlais maintenant totalement, je la fis s’assoir sur le sol de céramique, entre deux urinoirs et lui ordonnait de se laver avec l’eau qu’elle y trouverait. Encore une fois, les hommes furent vite autour d’elle et lui offrirent tout le liquide nécessaire à sa toilette. Je n’en croyais pas mes yeux! Ma femme se lavait en se frottant de l’urine d’une bande de males qui lui pissaient dessus! Je me suis avancé et me suis risqué à lui demander d’ouvrir la bouche, ce qu’elle fit sans discuter. Je lui ai alors uriné dans la bouche, lui mouillant au passage les cheveux, les seins, les yeux et le reste du corps!
C’en était fini de ma petite femme pudique et gênée. Elle était maintenant ma soumise, ma salope, mon obéissante chienne qui allait maintenant me servir, me satisfaire et s’offrir à moi comme à tous ceux à qui je voudrais bien l’offrir en cadeau.
Tu vois, c’est fait ma chère salope. Je révèle ici notre secret, je te dévoile, toi ma femme, ma chose, dans toute ta perversité et t’offre virtuellement à cette bande d’animaux sauvages qui hantent les couloirs de ce site!