Comme il faisait chaud pendant cet été là ! Helen avait décidé d’aller à la piscine pour se rafraîchir et, en option, montrer son nouveau deux pièces qui lui plaît tant.
Le haut est composé de deux triangles de tissus maintenus par deux cordelettes, pour le cou et le dos. Le bas est maintenu par deux petits noeuds de chaque côté de ses hanches. C’est vrai que l’eau fait du bien lorsqu’il fait chaud.
En nageant, elle la sent le long de son corps, de ses cuisses, de ses seins qui, non contraints, bougent au gré des vaguelettes qu’elle heurte. De plus, elle sent aussi le regard des hommes sur son corps. Il faut reconnaître qu’elle n’est pas maigre, ni grosse, mais avec des courbes voluptueuses qui laissent rarement froides. Après s’être bien défoulée, elle décida d’aller s’allonger sur la petite terrasse au soleil. Sur sa serviette, le soleil la plongeait dans une douce somnolence. De temps en temps, elle ouvrait les yeux et pouvait voir une autre femme allongée près d’elle. Il y avait finalement peu de gens aujourd’hui.
Deux ou trois hommes, deux autres jeunes femmes et elle. Tiens ! Elle peut voir les tétons durcis de sa voisine sous son maillot. C’est peut-être dû à cet homme à côté qui a glissé sa main dans le slip de sa voisine et exerce un mouvement ne laissant aucun doute sur son objectif. Plus que ses seins durcis, ce sont ses hanches qui se mettent à bouger.
Helen sent le désir monté en elle, associé au gène de voir ce couple en public. L’homme la regarde et sourit. Il glisse un mot à l’oreille de sa compagne et celle-ci se lève.
Elle approche d’Helen, l’embrasse. Leur langue se mêle avec retenue dans un premier temps puis avec plus de passion. La fille se relève enlève son slip et s’assoie sur son visage.
L’odeur est excitante et Helen voit que les quelques personnes présentes les regardent. S’apprêtant à réagir, ce sont les doigts la pénétrant qui la firent se mettre à lécher. La fille était déjà humide, ses hanches bougeaient à son tour. Le doigt se retira. Ne voyant rien, elle ne put que sentir des mains fermes lui prenant les cuisses et un sexe dur rentrer en elle. A ce moment-là, elle essaya de bouger. Mais la fille assise sur son visage et d’autres mains lui saisissant les bras la retinrent gentiment. Et puis, finalement, c’était tellement bon ! Seule la honte de profiter de ce plaisir qu’on lui avait imposé aurait pu encore lui donner envie de bouger.La fille se lève, les mains bougent ses cuisses et la font se retourner, ses mains sont posées au sol, elle est à quatre pattes. Son slip est retiré rapidement. Une substance introduite dans son anus précéda de peu le membre encore vigoureux qui entra en elle. C’était plus douloureux cette fois-ci, elle cria donc.
Mais dès les premiers sons, un autre membre emplit sa bouche et se mit à bouger. Pour finir, deux mains se mirent à lui pétrir fermement les seins pendant que deux doigts caressaient son clitoris tout en entrant dans elle. Le plaisir la submergea, elle voulait que cela continue, elle en voulait plus. Elle ondulait afin d’augmenter les sensations.
Ils vinrent tous en elle au même moment. Cela l’emplit au propre comme au figuré. Elle s’écroula par terre, haletante et frémissante. La sueur recouvrait son corps. Ils la regardaient tous, leurs sexes encore dressés. Le mot vint naturellement comme une expression de son corps …… « Encore ! »