L’an passé, une bonne semaine avant papa, maman et moi partions en Corse pour profiter d’une maison, qu’on nous avait prêté, car les propriétaires étaient en Australie pour le mariage de leur fille. Un peu retirée du centre ville, elle était des plus charmante, accueillante, et profitions vite de la mer proche ainsi que de la piscine. Dés le premier soir on sortait prendre un verre, et notre attention était attirée par le programme de la semaine de ce bar restaurant de plage des plus connus et des plus fréquenté.
Entre deux Mojitos, alors qu’on passait une agréable soirée, la discussion du programme revenait, et maman « questionnait » le serveur sur ce fameux programme. Le lendemain soir il y avait « Soirée Totale Liberté ». A notre grand étonnement, cette soirée annuelle des plus courues, allait ressembler à un défilé de tenues des plus extravagantes. Celle-ci nous attirait : maman et moi sommes mis à délirer sur ce programme.
Dés le lendemain après midi, maman semblait stimulée, passionnée pour la dite soirée et alors que je finissais de me doucher après elle, maman me conviait à la rejoindre dans sa chambre pour me faire découvrir sa tenue…
Qu’elle choc, étonnement, quand maman se mit à tournoyer autour de moi, tout en me questionnant, testant sur le « bien-fondé » de porter une telle robe… :
Robe foncée et brillante à la fois, quelques peu mini…, avec de longues manches qui lui couvraient les bras, mais surtout dans le dos, un très large et vertigineux décolleté qui descendait jusqu’aux fesses carrément…., qui, avec les mouvements de ces bras, laissait même découvrir sa poitrine nue !!
Là poussé par je ne sais quoi, je me suis mis à mon tour à féliciter…, approuver…., et encourager maman à sortir ainsi, car elle était magnifique et que j’en était très fière.
– Mon chéri, je ne suis jamais sortie ainsi vêtue, mais loin de tous, je ne sais pas ce qui ma pris, mais j’avais très envie de….
– Ne te justifie pas maman, j’adoooooore !
– Une ou deux fois avec ton père lors de soirée entre nous deux…
– Je ne veux pas savoir toutes vos coquineries maman, bien à vous!
– Il y a un détail mon chéri qu’il faut que tu saches, mais il n’y aura que toi, qui saura…., euh, euh, je ne peux strictement rien porter dessous, sans que sa se voit… !!!
– Tuuuuuuuuu ?
– Euh, euh, oui, oui, mon chéri je suis entièrement nue dessous… ! cela ne te gênes pas…, tu me « protègeras » contre les éventuels dragueurs… ?
Me collant à elle, je lui promettais tout ce qu’elle voulait.
C’est ainsi que tel un couple enlacé, maman et moi on se rendait à la soirée qui fut des plus sympa, festive, jusqu’à tard dans la nuit des plus chaudes. Toutes et tous avaient des tenues des plus extravagantes, insolites, et même étranges… : des princesses aux drag-queens, en passant par des vampires, les clients se croisaient, échangeaient, se photographiaient en toute amitié. Au milieu de ce dance-flore des plus coloré, bruyant, et où l’alcool coulait à flot, très vite on s’amusait avec tous et toutes, sans retenues. Bien vite je devinais l’effet que maman produisait avec sa tenue, mais des plus respectée, elle était. Complètement anéantie de la journée et la nuit, vers les 4h du matin…, on rentrait à pied.
Emoustillés par la soirée, l’alcool, on délirait sur tout et tous en chemin, et tandis que je « sondais » maman sur le fait d’avoir été ainsi vêtue au milieu de la foule, très lascivement, presque sensuellement, maman me chuchotait dans l’oreille qu’elle avait adorée… !!!
Alors que j’effleurais de haut en bas son dos nu…, me hasardant à glisser ma main sur ces fesses, à aucun moment maman la refoulait, devinant sa peau brulante…, et même quelque peu en sueur !!!
Seuls étions dans la nuit chaude à quelques pas de la maison, quand maman stoppait car un gravier c’était glissé dans ces sandales hautes et ouvertes, s’accrochant à moi sur l’épaule, levant sa jambe elle réussissait à faire tomber le gravier, alors que j’avais tout le loisir de découvrir la vulve nue de maman… !
Avec plein d’humour, tendresse, et amour même, elle me ramenait à la raison, mais des plus enflammé que j’étais je ne me retenais pas de la « caler » contre un muret, et face à face, des plus charmeurs, enjôleurs, aguicheurs je me faisais, tout en lui caressant, sous sa robe remontée, ces fesses nues…. !
La surprise passé, sans conviction dans les gestes, la voix les mots, elle tentait de me ramener à la raison, mais encore plus insistant j’étais… ! Mes doigts effleurant sa vulve toute humide et ardente, elle sursautait et gémissait, geignait, tout en soupirant pleins de :
– Noooon…, non pas toiiiiii….,, pas toi mon chéri …, c’est mal…, interdit… !!!, tandis quand même temps ces cuisses s’ouvraient, et que ces mains s’agrippaient à moi… !
Un majestueux et fougueux baiser on échangeait les yeux fermés, tandis qu’impétueusement nos langues se trouvaient, jouaient longuement.
– Qu’est ce qui nous arrive…, on est devenue fous…, c’est immorale maman me balbussiait
– Tu n’aimes pas maman… ?
– Oooooooooooh que si mon amour, mais pas, toi…, pas là…, c’est…
Amenant sa main vers la bosse de mon jeans, et la tenant par la chevelure juste avant de « partager » un jeu de langues, je murmurais à maman :
– Tu ne veux pas que je continue…, tu n’aimes pas… ?
– Ooooooooooohhhhhhhhhhhh, si, si mais….
S’agrippant ardemment à moi, je lui triturais sans vergogne, là en pleine nature, son bouton rose des plus brulants, glissant mes doigts dans sa chatte trempée…. Tout son corps tremblotait, frissonnait, chancelait même, et tout en me couvrant d’effrénés baisers, enflammée qu’elle était maman me balbutiait :
– Ouuuuuiiiii…., oui mon amour…., j’aime c’est trop bon…, prends-moi…, baise-moi… !!!
Sa robe remontée et roulée à la taille, je lui glissais :
– Tu crois vraiment que je serais à la hauteur…, je n’ai que peu d’expérience….
Me prenant les joues dans ces mains, maman stimulée et enflammée de mille envies, ajoutait avant de s’accroupir à mes pieds :
– Je te montrerais tout ce que tu voudras savoir mon amour…. !
En un éclair elle était à mes pieds et déjà avait sortie mon sexe des plus durs, quelle cajolât quelques instants, avant de m’offrir ma plus merveilleuse des fellations a, à peine 19 ans…. !!!
« Affamée, passionnée » qu’elle était avec un certain professionnalisme, jusqu’à la dernière goutte de ma semence elle dégustait, savourait : jamais je n’avais joui aussi rapidement, ce qui ne semblait nullement la décevoir…
Tout en se relevant, réajustant, elle-même glissait mon sexe dans mon jeans, et en se frottant contre moi, tout en m’offrant de furtifs baisers, elle ajoutait :
– Tu as aimé… ? c’était bon… ? c’est ce que tu avais envie mon amour… ?
J’eu pas le temps de répondre qu’elle me soupirait :
– J’espère que personne n’est passé, ou vu… !
– Ah bon tu y as pensé toi maman… ?
– Euh non, non et puis je m’en fiche ! et si on rentrait pour continuer mon amour… ?
– Vraiment… ?
– Oui, oui comme cela tu pourras tout me faire comme tu voudras, quand tu voudras et où tu voudras… !!!!
a suivre…