Premier entretien pour un poste dans l’industrie, même avec un bac+5 je suis stressée au possible dans la salle d’attente. Après quelques minutes qui me paraissent une éternité la secrétaire me fait entrer dans votre bureau. L’entretien se déroule normalement mais vous me sentez vulnérable, vous sentez mon stress à des kilomètres.
Alors que je pense l’entretien fini, vous vous levez pour me serrer la main mais votre main droite se dirige vers ma chatte et l’empoigne au travers de mon pantalon alors que la gauche serre ma poitrine.
J’ai un léger mouvement de recul et me heurte à la chaise derrière moi. Je suis alors coincée avec vos mains sur moi alors que quelqu’un pourrait entrer à tout moment.
Mon cœur bat tellement fort que j’ai l’impression qu’il pourrait être entendu à des mètres à la ronde, je dois être rouge comme une pivoine, je n’ose plus relever la tête.
Je balbutie quelques mots pour vous demander d’arrêter mais vous n’êtes pas dupe. Vous savez aussi bien que moi que je n’ai pas vraiment envie que vous y mettiez fin.
Vous commencez à déboutonner le haut de ma chemise et baissez mon soutien-gorge pour attraper mon téton durci. Vous me tripotez d’une main en me relavant le menton de l’autre et me demandez si je veux vraiment ce boulot. Alors que j’acquiesce vous retournez vous asseoir sans dire un mot, je reste là, à moitié tétanisée ne sachant pas vraiment ce que je dois faire ou dire, si je dois refermer mon chemisier ou non, et ne sachant pas vraiment dans quoi je m’étais embarquée en disant oui. Vous sortez un bloc-notes et commencez à écrire. Je suis toujours là me sentant conne à moitié déshabillée dans votre bureau, ma chatte complètement humide, les tétons qui pointent. Je me sens stupide et à la fois j’ai terriblement envie de vous, j’aimerais passer sous le bureau à la seconde pour m’occuper de vous.
Après un long moment de solitude pour moi, vous vous relevez finalement et pliez en huit au moins la feuille sur laquelle vous venez d’écrire. Je me demande pourquoi vous la pliez si petit si c’est pour me la donner. Une fois en face de moi vous recommencez à me caresser la poitrine puis descendez votre main jusqu’à mon entrejambe. Finalement vous ouvrez mon pantalon et glissez votre main dans ma culotte. J’ai toujours la tête baissée et n’ose pas la relever mais je sens votre sourire lorsque vous découvrez ma chatte trempée. Pourtant vous ne vous y attardez pas, vous mettez le bout de papier dans cette main avant de la glisser une nouvelle fois dans ma culotte, vous le coincez alors dans ma chatte, ainsi lorsque je le lirais il sera complètement souillé. Une fois le papier en place vous essuyez votre main sur ma poitrine, refermez mon pantalon et reboutonnez mon chemisier laissant mes tétons en dehors de mon soutien-gorge. Vous me tendez alors mon sac et allez vers la porte pour me l’ouvrir.
Une dernière poignée de main, vous me souhaitez une bonne fin de journée sous les yeux de votre secrétaire comme si de rien n’était et j’en fais de même. Pourtant j’ai l’impression qu’elle peut lire sur mon visage comme dans un livre ouvert. Je pars, n’ayant aucune idée de ce que vous avez écrit sur ce bout de papier et bien sûr je n’oserais pas m’arrêter dans un café pour aller aux toilettes et le lire. Je vais devoir attendre d’être chez moi pour pouvoir le lire. Sur le chemin du retour je commence à cogiter, dans quoi me suis-je embarqué ? Et si le mot dans ma culotte était juste une insulte pour la conne que je suis ? Des questions plus stupides les une que les autres fusent dans ma tête, et si ma mouille avait dilué l’encre et que je ne puisse jamais lire votre mot ? J’aurais envie de passer la main dans ma culotte discrètement pour le lire, mais je n’oserais jamais, et même si j’osais je ne pourrais lire un papier trempé par ma mouille en public. Et puis j’ai de plus en plus envie de me caresser, je n’en peux plus. J’arrive enfin chez moi, je suis tellement fébrile que j’ai du mal à ouvrir la porte. Je suis à la fois excitée et stressée à l’idée de découvrir votre mot. Finalement j’hésite à le sortir.
Je vais à la salle de bain et commence à me dévêtir devant la glace après m’être déchaussée. D’abord ma veste, puis je déboutonne lentement mon chemisier, découvrant ma poitrine et mon soutien-gorge sur lesquels vous avez essuyé ma mouille, j’ai la gorge qui se serre, je n’ose pas me toucher la poitrine de peur d’enlever vos traces. J’enlève alors mon pantalon, je fixe alors ma culotte du regard dans le miroir, c’est là qu’il se trouve, bientôt je découvrirais ce fameux mot, dans cette culotte visiblement souillée. Je stresse alors un peu plus, enlève mon soutien-gorge, je passe mes mains devant ma poitrine mais n’ose toujours pas y toucher. Puis je reste fixée devant le miroir pendant un temps infini avant de finalement décider d’ôter ma culotte.
Alors que je commence à l’enlever je me rends compte que le bout de papier est toujours coincé dans ma chatte, Je pose alors ma culotte sur le rebord du lavabo en faisant attention de ne pas trop bouger pour que le papier ne tombe pas parterre. Ma chatte est trempée, j’essais d’attraper le bout de papier sans trop me mouiller les doigts. Il est là dans ma main, complètement recouvert de mon jus. Je le déplie délicatement en prenant soin de ne pas le déchirer et en essayant de ne pas regarder ce qu’il y a de noté pour le moment. Mes jambes me tiennent à peine, j’ai l’impression que mon cœur va sortir de ma poitrine durcie alors que je sens ma mouille couler entre mes jambes, j’ai l’impression que mon corps est brûlant. Finalement je prends mon courage à deux mains et le mot commence ainsi: Ton contrat sera prêt ce soir, si tu veux le signer rejoins-moi ce soir à 22H à l’adresse que je t’aurais envoyé sur ton portable. L’entretien risque d’être plus dur que ce matin et mes exigences nombreuses : …