La garde robe de Mme F.. se complétait au fil des jours. Elle avait acheté une robe d’été boutonnée sur le devant pour nos escapades en cabriolet, avec nos amis les routiers.. Elle reconnaissait que sa féminité s’en trouvait mise en valeur, et que les sensations du vent entre ses cuisses, et les regards sur sa chatte s’étaient avérés délicieux… Je lui avais bien dit : « Un rien te déshabille ! »
La minijupe pour les promenades au bois, le pantalon de jean’s que l’on porte sans culotte pour que la couture agace le bouton de chair, tout ça c’était de la fringue moderne, abondante sur le marché, et moulant « sans distinction » aucune, tous les culs en état de marche… Sans la classe, sans le raffinement nécessaire à l’érotisme, sans la séduction qui déclenche l’affolement des sens et le dérèglement de l’esprit !
Pour ma salope de bourge, je voulais plus, je voulais mieux, je voulais de l’exceptionnel, du rare, et donc du cher! Au prétexte de son anniversaire, je l’avais entraînée dans une étrange boutique, un hangar peint en noir, ou le sigle SM ne signifiait pas Super Marché… et où les fouets côtoyaient les pinces, des godes et d’ étranges tenues.. Justement je cherchais une tenue… pas une tenue de soubrette, pas une tenue d’écolière, ni une panoplie d’infirmière, non, je voulais une tenue de bourgeoise élégante et dévergondée, genre guêpière ou serre taille, bas noirs et escarpins.. une tenue pour sortir en mondaine, dans la « hot » société…
Il y a trois choses qui s’essaient avant d’acheter : les chaussures, les femmes et les vêtements et justement, il s’agissait de vêtements, alors avec les quatre ou cinq modèles choisis, direction : la cabine d’essayage… Laçage, boutonnage eurent raison de ma patience, j’étais décidément cent fois plus habile à déshabiller les femmes qu’à les habiller chacun son métier.. Un signe à la caisse pour qu’on nous envoie quelqu’un de compétent !
La jeune vendeuse vint rapidement à notre aide. Heureusement que c’était un petit gabarit, car la cabine était exiguë, alors trois adultes, c’était le métro à l’heure de pointe.. deux modèles avaient été essayés mais ne nous plaisaient pas réellement.. La vendeuse accroupie, s’apprêtait à lacer le troisième modèle, quand elle remarqua que je lui tendais un billet de cinquante euros, tout en lui faisant un signe avec un doigt de ma main… Vive d’esprit, elle avait vite compris que je voulais qu’elle doigte mon amie, qui était fesses à l’air en plein essayage de guêpière… Interdite de sexe avec les clients ou clientes, elle n’hésita pourtant pas à enfoncer ses doigts dans cette chatte qui s’exhibait, et exhalait ses senteurs femelles, au niveau de son visage !
Mme F.. avait réagi vivement, moi aussi, et plus vite qu’elle en lui intimant l’ordre de se taire et de se laisser faire.. les doigts de la vendeuse savait y faire… quelques minutes plus tard, Mme F… trempée de son jus, avait senti que la jeune fille collait sa bouche gourmande à son intimité bourgeoise.. et lui léchait l’entrecuisse… Un deuxième billet avait encouragé cette heureuse initiative.. puis la jeune femme, un peu excitée, avait roulé une pelle d’enfer à sa cliente…
En partant après avoir payé mes achats, j’avais griffonné un mot sur un papier et l’avais remis furtivement à la vendeuse : « Je passerai vous prendre à la sortie du travail ! Récompense envisagée!»
Le soir, elle m’avait reconnu et était montée dans ma voiture pour quelques explications… Je l’invitais à continuer l’essayage chez mon « amie » et même d’essayer l’amie en question…toute la nuit si elle le voulait. Elle serait récompensée et je la raccompagnerais à son travail le lendemain.. Elle s’enquit de la récompense.. puis me demanda quelques minutes pour compléter son sac, dans la boutique… et d’y prendre, dans son vestiaire personnel, quelques affaires de toilette…
Mon amie bourge (de la façon dont je l’avais utilisée, elle avait désormais le titre d’amie..) mon amie avait été très surprise de me voir revenir, ce soir là, accompagné de la jeune vendeuse…) « L’essayage n’est pas terminé, vous allez toutes deux le continuer toute la nuit ! » et m’adressant à la jeune femme : « Je vous présente Mme F… la cliente, qui a eu l’air de vous plaire, en cabine d’essayage ! Mme F, il y a quelques mois, était une bourgeoise un peu coincée, mais après quelques leçons pratiques, elle s’est épanouie.. Je trouve qu’elle est devenue consommable, fréquentable et délicieusement salope ! Mais j’ignore son appétit pour les femmes, à vous de lui révéler cette sensualité si particulière.. Il m’a semblé que vous en aviez le goût, autant que j’ai pu le constater aujourd’hui dans cette cabine ! Je vous laisse pour la nuit, et viendrai vous rechercher demain à neuf heures ! Amusez-vous bien toutes les deux, et dressez la aux pires vices !
F.. n’avait rien dit, et surtout pas « non », les gifles, elle connaissait, ça l’excitait même un peu, mais devant une autre femme, et qui plus est une jeune femme, qui aurait pu être sa fille, non, elle ne voulait pas de cette suprême humiliation….Elle fit entrer celle qui serait désormais « Sa » vendeuse, celle qui allait lui vendre son âme au diable…son âme et tout le reste avec !
J ‘avais eu du mal à savoir ce qui s’était réellement passé entre elles.. Le lendemain, chacune m’avait probablement dit sa vérité, et caché l’essentiel…. Au tout début, la bourge s’était mise nue et avait enfilé la guêpière, des bas noirs et des hauts talons… la vendeuse l’avait caressée, palpée, fouillée de ses propres mains.. jeune mais déjà experte, elle l’avait rendue comme folle cette bourgeoise qu’elle initiait aux plaisirs saphiques… Elles s’étaient toutes les deux mises à poil et s’étaient gouinées dans le lit, une bonne partie de la nuit…. Dans toutes les positions imaginables et pour tous les plaisirs possibles… Langues dans les sexes, dans les petits œillets plissés et la raie, dans les bouches quand même, pour s’offrir leurs odeurs intimes et goûteuses… La jeune vendeuse prenait l’initiative, ma femelle de bourge se laissait faire, apprenait vite puis exigeait la même chose de sa partenaire.. Elle semblait prendre goût à la chose féminine.. à tel point que s’étant sucées, léchées de partout, touchées et sondées de leurs doigts, titillées sans relâche leurs clitos, fait un peu mal avec les martinets, les pinces à tétons, Il ne restait plus qu’une chose à faire pour finir en beauté…
La jeune fille s’était levée et avait fouillé dans son sac… puis en s’harnachant d’un gode ceinture noir, elle avait dit : « T’es vraiment trop bonne, faut que je t’encule à fond ma jolie! ». Elle avait fait prendre la pose à sa victime, à quatre pattes, cuisses écartées, la tête appuyée sur le lit, le cul bien en l’air, provocante au possible, attisant le désir… La jeune femelle s’était agrippée aux épaules de la plus âgée, et avait forcé sur l’œillet plissé… qui s’était ouvert accueillant l’engin.. la première douleur passée, la femelle s’était cambrée et avait dit : « Oui, ma Chérie, défonce moi comme une chienne, je veux être à toi ! » après une belle et longue partie de « ça va ça vient » les femmes s’étaient écroulées de jouissance sur le lit, l’une sur l’autre, épuisées, tremblantes, à bout de nerfs !
Elles avaient dormi, comme des bébés, dans les bras l’une de l’autre… tendrement enlacées… toute la nuit… jusqu’à la sonnerie du réveil…. Levées elle étaient restées nues, pour mieux profiter du corps de l’autre, au moins par la vue… puis elles s’étaient mutuellement savonnées dans la douche, en insistant sur leurs féminité sensibles… les chiennes en chaleur, c’est comme ça, elles n’arrêtent jamais…alors déjà excitées, et pour ne pas se quitter ainsi… la jeune vendeuse avait fait asseoir mon « amie » dans le bac de la douche et debout, jambes écartées, lui avait pissé dessus… Comme pour marquer son territoire !
Mais ça, elle ont eu du mal à me l’avouer ! Surtout qu’elles y avaient pris du plaisir, et s’étaient embrassées longuement, amoureusement, encore souillées de leur vice !
A dix heures pile, la jeune vicieuse était à l’ouverture du magasin, prête à reprendre son travail.. Et sa récompense, c’était surtout des yeux cernés, à cause de ces heures supplémentaires faites parmi la « hot » bourgeoisie de la ville…