C’était un soir de semaine, je rentrais du travail, vidée par une réunion qui avait durée toute l’après midi. Je traînais alors mon corps luisant de sueurs vers la salle de bain, une bonne douche me ferait du bien, je commençais donc à me déshabiller, le dernier obstacle entre moi et ma douche : mes sous vêtements !
Je dégrafai mon soutien gorge quand la sonnette retenti, j’étais tenté de ne pas aller voir, j’avais tellement besoin de cette douche, mais non, ce pouvait être important. J’enfilai un fin peignoir et alla ouvrir.
Il était là, et me fixait avec ses beaux yeux bleus, cet homme était tout simplement magnifique, je restais sans voix. Comme s’il comprenait ce qui me troublait, il s’excusa de déranger et se présenta. C’était, un ami de Fred, mon voisin d’en face, qui avait l’habitude de laisser ses clés avec moi lorsque qu’il était en déplacement. Comme il me l’expliquait, il revenait de Paris et Fred avait proposé de lui laisser son appartement pour la nuit. Il souhaitait donc récupérer les clés.
Petit problème pour lui, Fred ne m’avait rien laissé cette fois. Il eu l’air de prendre la chose à la rigolade. Tant pis il réservera dans un hôtel à proximité, il me demanda alors s’il pouvait utiliser mon téléphone. Je n’étais pas contre mais laisser ce bel inconnu entrer dans mon espace privée me troublait plus que je ne le pensais. Je m’imaginais déjà les cuisses écartées, avec sa langue qui me léchait le clitoris et ses doigts agiles et experts fouillant mon intimité.
J’étais déjà en feu, mes joues rosirent de confusion et de gène, mais la chaleur continuait à monter le long de mon entre jambe. Je le laissais donc là pour téléphoner et me dirigea vers ma salle de bain. Il me la fallait cette douche ! Des images de cet homme avec son membre dressé devant moi me donnaient des sueurs !
En me douchant, je sentais le besoin de me libérer de ce désir intense qui c’était emparé de moi, je commençais à me caresser, j’avais le besoin de sentir une queue me défoncer la chatte, et même le cul, voir les deux en même temps. C’était réellement une envie bestiale.
Je dus faire du bruit, car dans mon plaisir je n’avais pas verrouillé la porte, et c’est tout naturellement que ce bel inconnu entra dans la pièce, et me trouva les doigts dans ma chatte toute chaude. Il était tout exciter également, ça se voyait dans son regard, et son pantalon bien coupé ne cachait par la grosse bosse qui essayer de s’échapper au niveau de son entrejambe. Je sortis de la douche avec son aide, il ne se fit pas prier, se pencha et se mis à lécher mon clitoris avec à coup de langue tantôt douce, tantôt exigeant. J’avais deviné en le voyant qu’il savait y faire avec les femmes, je suis toujours en chaleur quand je croise un homme expert au pieux. Ca doit être un sixième sens !
Il continuait à me lécher et me sucer le clito, pendant de longue minutes, il mettait ses doigts à contribution, me pénétrai presque avec une main, et bien que s’était assez serrer, j’adorais ça ! Il me faisait voir de toutes les couleurs, il se leva alors, me plaqua contre le mur, et m’embrassa langoureusement, il continuait à me doigté avec ferveur ! Sans que je m’y attende, il me souleva sans aucune difficulté, sorti de la salle de bain, poussa la première porte qu’il trouva, espérant trouver un lit, mauvaise pioche, c’était le bureau. Mais il ne pouvait plus attendre, il me déposa sur le bureau. Je lui débarrassai de sa chemise pendant qu’il continuait son va et vient entre mes cuisses, de ses doigts doux et chauds. J’étais au bord de l’extase, il fit tomber son pantalon, il avait un corps superbe, ce qui me fis mouiller d’avantage, il comprit pourquoi, et je vis son sexe se dressé encore plus. Je l’avais bien imaginé, un gros membre, bien en veines et exigeant, il enleva ses doigts et me pénétra tout d’un seul coup bien profond, j’allais exploser… il commença à bouger, je sentais son sexe dur et tendu en moi, j’aimais le sentir me remplir, j’en voulais de plus en plus… Il me donna des coups moins tendre, fort et virile, et je finis par crier et le summum du plaisir m’envahi, mais il continua, le feu brulait toujours en moi. Il me souleva, garda son sexe dur en moi et chercha la chambre, je lui montrai le chemin et on se dirigea vers le lit. Il me déposa lentement, garda son sexe toujours aussi dur dans ma fente, et là, il prit le vibro, que j’avais sur mon chevet, il me sourit, me le mis dans la bouche pour le lubrifier. Sans se décoller de moi, il me retourna, je me retrouvais sur lui, il prit alors le gros engin et me le fourra dans le cul, c’était si excitant ! Il se mit à bouger plus fort, tandis que la vibration de l’énorme appareil me donnait des sensations complètement nouvelles. Je jouis encore une fois, aussi intense que la première fois. Il sorti de moi et pris alors le soin de m’enculer, bien plus profond que l’appareil avait pu atteindre, je le senti alors se cambrait, se durcir et se libérer de son jus chaud dans un râle de satisfaction. Je sentais la douce chaleur de son sperme qui coulait le long de mon cul. Des frissons me parcourraient encore… et dire que je connais rien de cet homme, ça doit être ça le plus excitant !
Quand on reprit nos esprit, il se présenta alors, « en faite, je m’appelle Sam, et je dois reprendre l’appartement de Fred, ça tombe bien, je n’ai pas encore fini avec toi… Tu me fais tellement bander, je veux encore ton cul pour me soulager… »
Et là il je vis son sexe se redresser, ses beaux yeux bleus s’assombrir, et en m’abandonnant à son membre imposant je pensais alors que mon corps allait enfin avoir le traitement qu’il mérita enfin, en plus autant de foi que je le souhaitais !