On dit parfois qu’il fait bien les choses, faut-il y croire?
Ma conjointe avait son Congrès annuel de l’ordre professionnel. Elle quittait le vendredi pour se rendre à Québec dans un chic hôtel de la Ville.
J’avais prévu des travaux à la maison, le beau temps ayant enfin reprit le dessus.
Je décapoté la BMW et décidai de profiter des rayons de soleil et de la route. Tout à fait en no where, en me disaant que mes tâches attendraient au samedi.
Arrivé près de Drummondville je bifurquai sur la 55 direction Sherbrooke. Une voiture y était sur la voie d’évitement, feux d’urgence en fonction. Je décidai de m’y arrêter question de m’assurer que tout allait bien.
La propriétaire de la Corvette, une jolie châtaine aux reflets roux, grands yeux verts, me regarda avec des yeux de désespoir.
» le moteur vient de flancher, on và me remorquer à Sherbrooke… Ça và pas du tout je dois être à Québec ce soir. J’ai promis à une amie d’y être « .
Je lui proposai d’attendre pour la dépanneuse puis de la conduire à destination: je suis en ballade et ne doit revenir que demain.
Petite hésitation elle sonda mon regard: méfiance et intérêt confondus dans ses yeux. Je m’appelle Simon et vous?
Christine fit-elle. Tiens voilà la dépanneuse, ma proposition tient toujours.
– Et bien soit, si vous êtes disponible j’accepte votre offre.
Pencher à sa portière j’avais remarqué avec intérêts ses fines jambes et son décolté rebondi. Christine récupéra ce dont elle avait besoin puis se glissa côté passager.
La radio jouait Steppenwolf: Born to be wild et l’air doux enfilait l’habitacle dans le grondement du moteur.
Elle me confia être en meeting pour le week-end et espérait
revoir une très jolie collègue pour faire la fête avant le travail. Son humour n’avait d’égal que ses courbes et, ma foi, la musique et la pénombre qui s’installait doucement
avait l’air de la détendre.
Je lui tendis un CD qui glissa sous la banquette. Je tendis la main pour le récupérer et frôlai sa cuisse qu’elle ne déplaça nullement. C’est plutôt un sourire coquin quelle me servit. Elle récupéra ma main libre et la posa sur sa cuisse. Lentement je la caressai; fixant la route elle haussa le volume de Famous blue raincoat de Cohen en me disant qu’elle l’adorait.
Son ton était chaleureux. J’avais amplifié les mouvements de ma main et mes doigts ne purent se contenir d’emprunter l’interstice de ses cuisses. Elle posa doucement sa main sur la mienne comme pour préserver la chaleur que dégageait déjà son sexe humide. Elle déploya un de ses doigts fins et l’agita sur son clitoris. Ses yeux mi-clos maintenant, ses lèvres prêtes à chanter de douceur, j’imprégner un và et vient d’abord de mon majeur puis de deux et trois de mes doigts. De mon pouce recourbé j’étirais ses lèvres et frôlais son clitoris. Elle s’abandonnait; elle fit reculer la banquette et l’inclina vers l’arrière.
La route était belle et elle s’époumonnait de rire lorsque nous devançions un camionneur. Son bassin augmentait le rythme d’aller-retour est ses jambes maitenant grande ouverte demandait un acceuil définitif en elle. Son haleine haleta puis dans une languissante complainte elle referma son étreinte sur mon poignet en m’implorant de continuer. Elle jouit d’un cri de bonheur puis se pencha sur mon épaule.
Je devai la conduire au Duvallier. Arrivé à l’Hôtel elle m’indiqua vouloir me présenter sa copine. Cellulaire en main, elle était ricaneuse en lançant l’invitation de nous rejoindre à sa suite. » Tu vas la trouver bien; elle se pomponne et nous rejoint sous peu. Je commande le champagne et défait mes valises « .
Je voyais s’étaler devant moi sa lingerie fine; elle toute joyeuse et fraîche. Elle me confia qu’elle adorait s’éclater avec sa copine. Ele se dévêtit en me fixant et se dirigea vers la douche. Hésitant, je ne savais pas si je devais écouter mon désir intense de la clouer de ma queue. L’on frappa à la porte: j’allai répondre. La porte s’ouvrit sur une surprise de taille…. Anne, ma femme. Tous les deux embarassés, comment s’expliquer un et l’autre. Je la regardai en souriant et lui dit: j’ai fait connaissance avec Christine… elle adore faire la fête avec toi. De fait je suis confié avec vous pour le champagne. Pourquoi ne pas le rejoindre sous l’eau et faire sauter le bouchon.
Elle me regarda d’un air complice que je ne lui avais pas vu depuis longtemps. » Je n’ai jamais osé te confier ce secret de peur de te perdre « . Je fis glisser son tailleur tout remontant sa veste de soie et tout en moi faisait que je retrouvais tous les sens du plaisir. Sa timidité fit vite place à une excitation et une avidité étonnante. Je servis les flûtes et en partageai une gorgée que nous échangeâmes sensuellement. Je reconnus son odeur et ses fins cheveux blonds caressaient mes bras.
Par la taille je la dirigeai vers la salle où Christine était sous la douche. Je fis sauter tous ses vêtements sauf son string rouge ardent. Dans une nuée de vapeur elle se glissa derrière le panneau vitré embuée. Sans surprise je vis deux silhouettes s’éteindre. Puis les bras et les mains devenaient plus agiles tant que les bouches glappissaient sous les jets du pommeau. J’allai prendre place derrière ma tendre épouse. Je sentis en elle une fougue captive qui exhalta Christine. J’insérer dans son anus bien présenté mon majeur mouillé. Lentement, pendant que Christine glissait ses lèvres sur son sexe, je venais et allais en mordillant ses fesses parfaites. Bientôt sa jouissance provoqua des orages dns la bouche de Christine. Elle m’offra d’un baiser passionné sa récolte de gouttes de pluie.
Plaisir que je n’avais connu me fut délivrer.
Anne s’était saisit d’un appareil dans la trousse de celle qui accrochait maintenant ses jambes à ma taille. Alors que mon gland racolait les parois de Christine, une intrusion subite fit chauffer mon anus et mes reins. Le jouet lubrifié trouva son chemin doucement et révéla des plairs inavoués. Anne était si fière de sa surprise. Elle guidait mon pénis au plus profond de sa collègue et m’enfonçait à son grand plaisir. Je jouis… agenouillé sous le jet je continuai d’admirer le ballet qui m’était dévoilé.
Ricaneuses elles quittèrent pour la chambre après s’être longuement épongées et léchées. Leur cheveux humides tombaient en boucles merveilles sur leurs épaules. Je croyais rêver.
Je laisser la chaleur s’établir au maximum entre elles. Sur le lit elles s’embrassaient furieusement et leur vulve était uni dans une ronde furieuse.
Je me glissai derrière Christine et enfonçai le jouet dans son anus. Anne plongea la bouche et attaqua fougueusement l’entre-jambe grand ouvert sous un ventre haletant. Elle retenu le jou-jou en lui imprégnant des gestes amples et lents. Plaçai devant le derrière de ma femme j’entrepris une sodomie soutenue, rythmée jusqu’à la saccade, profonde et presqu’interminable… Tous trois avions les larmes aux yeux et l’esprit loin de tous nos problèmes. Organique ce fut jusqu’à la jouissance totale et parfaite, un trio à l’unisson.
À bout de souffle nous nous blottirent puis reprirent une gorgée de champagne.
Je conviai à ce couple que je souhaitais les laisser faire retrouvailles et dis à Anne que je croyais maintenant au hasard….