Je me retrouve dans l’appartement de ce collègue de collège que je n’ai pas revu depuis. Je me souviens très bien de lui. Il sortait toujours avec les plus jolies filles de l’école. Comme j’étais du genre timide, je ne pouvais que l’envier. Maintenant, il dirige sa propre entreprise. Il est demeuré fidèle à lui-même; il travaille auprès des femmes. Ce soir, précisément, il a deux rendez-vous simultanés et il va devoir en annuler un, à moins que je ne consente à le dépanner. Ce que j’ai à faire est simple : je serai garçon de compagnie pour une dame habitant une de ces résidences somptueuses d’un quartier huppé de la ville. Certaines de ces dames se sentent tellement seules. Je suis cultivé, bon interlocuteur et, ce qui ne gâche rien, les femmes me trouvent beaucoup de charme. La dame me dira quoi faire. Un taxi m’y conduit.
Je sonne à la porte et une voix me parvient par un haut-parleur me priant d’entrer et de passer directement au salon, sur ma droite. Une jolie dame dans la quarantaine y est assise sur un divan. Elle est élégamment vêtue d’une blouse blanche et d’une jupe noire qui découvre une bonne partie de ses cuisses. Elle me prie d’avancer jusqu’à elle. Je m’exécute et m’arrête à quelques pas de son fauteuil. Elle me fait signe de venir tout près. Quand je me tiens juste devant elle, elle place soudainement les mains sur mes fesses qu’elle explore savamment. Puis ses mains se portent sur mon sexe qu’elle masse à travers mon pantalon. Elle m’explique qu’elle doit s’assurer de la qualité du produit avant de l’accepter. Je suis stupéfait. Elle abaisse ma fermeture éclair et en retire un sexe déjà gros et dur. D’une main, elle me masturbe doucement pendant que de l’autre elle caresse mes couilles. Mon sexe se gonfle immédiatement. Elle le regarde quelque temps puis l’abandonne en disant que ça devrait faire l’affaire. Elle se lève, marche jusqu’à une petite table et en revient avec une enveloppe qu’elle me tend. Elle prend ma main et me guide jusqu’au foyer qui pétille.
Se tenant debout devant moi, elle m’ordonne de la déshabiller. Mes doigts nerveux saisissent le premier bouton de sa blouse et le défont. Puis, les autres. Je défais les boutons de ses manches et ouvre sa blouse pour découvrir qu’elle porte un ravissant soutien-gorge à balconnets blanc qui soulève et arrondit sensuellement ses seins. J’hésite un peu puis je commence à caresser ses seins magnifiques. Je pose ma bouche doucement et je les embrasse. D’un geste rapide et habile, elle dégrafe son sous-vêtement et m’offre entièrement ses seins désirables. Je les embrasse tour à tour, les mordille et les suce goulûment. Elle me demande ensuite de m’agenouiller devant elle. Mes mains remontent le long de ses cuisses tout en haut de ses jarretelles. Je relève sa jupe et je me rends compte qu’elle ne porte pas de culotte. J’explore maintenant l’intérieur de ses cuisses chaudes et j’approche ma bouche affamée. Elle écarte légèrement les jambes et je commence alors à lécher ses cuisses tout près de son sexe. Elle ne veut pas attendre plus longtemps et , de ses deux mains, elle attire ma bouche vers sa chatte. Je lèche doucement d’abord tout autour puis de bas en haut. Elle écarte ma bouche de son sexe un instant et elle retire sa jupe. Elle est nue devant moi si ce n’est de ses bas et de ses chaussures. Elle plaque ma bouche à nouveau sur sa chatte humide. Ma langue se remet à la tâche avec plus d’ardeur encore. Elle pénètre dans sa chatte et en lèche tous les recoins. Au moment où je m’apprête à sucer son clitoris, elle se retourne et m’offre ses fesses que je commence aussitôt à lécher. De ses deux mains, elle les écarte et découvre ainsi son anus. Ma langue mouillée l’envahit immédiatement. Je lèche d’un mouvement rapide que la dame semble apprécier. Je pose mes mains sur ses hanches et attire ses fesses vers moi en même temps que ma langue se fait plus insistante sur son petit anus bien lubrifié par mes soins. Lentement, il s’ouvre et laisse entrer l’extrémité de ma langue. Je m’y consacre un bon moment.
Ensuite, je suis étendu sur une couverture de satin placée devant le foyer. Ma cliente place les jambes de chaque côté de ma tête et abaisse sa chatte jusqu’à ma bouche et elle m’ordonne de lécher jusqu’à l’orgasme. Elle commence alors à se déhancher sur ma langue et il m’est difficile de suivre ses mouvements. Au moment où je sens qu’elle va jouir, elle déplace son corps vers l’avant et place son anus sur ma langue. Je tiens ses fesses écartées et je lui fais bien sentir ma langue humide à l’intérieur d’elle-même. Je ne sais combien de temps je suis demeuré à prendre soin de sa chatte et de sa porte arrière. À plusieurs reprises, elle a inondé mon visage. Finalement, je crois qu’elle est satisfaite, car elle se relève, mais c’est pour mieux s’empaler sur mon sexe sur lequel elle a enfilé un préservatif. Elle vient très lentement à ma rencontre. Quand j’essaie de soulever mes hanches afin de mieux pénétrer son antre, elle me fait remarquer qu’elle paie pour son plaisir et non le mien. Commence alors une longue et experte torture de mon sexe. Elle le laisse pénétrer dans sa chatte, à moitié, puis elle se relève. Elle continue pendant de longues minutes. Elle prépare lentement son orgasme. Soudainement, elle se laisse envahir complètement par mon sexe qui apprécie sa chaleur bienveillante. Elle accélère son rythme, ses yeux se ferment et elle pousse de petits cris de plaisir. Je n’ai pas joui et elle le sait. Elle n’a aucunement l’intention de me donner ce plaisir, car elle n’en a pas terminé avec moi…