Celà c’est passé durant quelques années et c’ets le moment d’écrire cette histoire véridique. Maintenant nous avons l’un et l’uatre quitté la commune en question.
Depuis que je l’avais croisé je n’arrêtais pas de fantasmer sur Christian. Mais pour que celà soit plus plausible je vais l’a transcrire eu présent.
Christian c’est mon voisin d’à coté, habibant au 1er étage d’une bâtisse ancienne au moi au rez de chaussée.
Un bel homme aux cheveux grisonnants bouclés dans le cou, aux yeux sombres et envoutants, grand,, très séduisant, avec une voix douce, chaude et virile, la cinquantaine bien qu’il ne les fasse pas, musclé sans plus mais dégageant une virilité masculine étourdissante et de plus célibataire et qui emmène chez lui pas mal de ses conquêtes. J’en suis un peu jalouse en voyant mon mari bedonnant et ne valant plus rien au lit.
Tous les matins des week-end que je passe à la campagne, je bouscule mes petits rituels pour l’observer lorsqu’il sort de la douche car il laisse toujours la fenêtre de sa chambre ouverte, et je vois son buste musclé et devine que sa serviette cache son sexe à mon regard plein d’envies. Nous avions rarement discuté mis à part l’autre soir où après quelques explications au sujet des agissements de mon mari, il m’avait embrassé dans la jardin et moi jouant la femme prude je n’avais pas desserré les dents de suite mais la pression de ses lévres et de sa langue sur les miennes et de mon envie trop longtemps retenue , je me suis laissée embrassée avec un réel bonheur.
Explications dues au fait qu’un jour Christian s’est attrapé avec mon mari qui pris de boissons l’avait proprement insulté pour des pécadilles et de mon côté j’avais pris la défense de Christian, déjà parce qu’il me plaisait et également aussi parce que mon époux racontait n’importe quoi. Etant breton Christian avait déjà en tête de rabaisser mon mari en le faisant cocu.
Mais rapidement, la situation ne fut plus tenable. Je rêvais de lui chaque nuit, son baiser volé dans le jardin et le souvenir de son torse nu me faisait brûler de l’intérieur et mes plaisirs solitaires lui étaient entièrement dédiés.
Une nuit que je rentrais d’une soirée, je vis par la fenêtre de ma chambre que Christian n’était pas couché. Au lieu de fermer mes volets et d’aller tranquillement me coucher, je suis restée debout, à l’observer. Soudain, j’ai commencé à me caresser sous mes vêtements. Sans être d’une nature pudique, je ne suis pas non plus une exhibitionniste et il était évident que Christian ne pourrait pas remarquer mes caresses improvisées de sa fenêtre. J’ai remarqué mais plus tard qu’il se tenait derrière son rideau et qu’il avait vu mon manège. Je pris un air dégagé, faisant mine de ne pas l’avoir remarqué. Mais le jeu était tentant, et mes mouvements se sont faits plus sensuels, mes mains caressant ma poitrine, mes hanches en même temps que je passais ma main sous mon panta court en jean’s moulant. J’avais eu la bonne idée, ce soir-là, de ne pas mettre de soutien-gorge.
Une semaine après, occupée à lire sur la terrasse en pyjama short courts, bleus ciel comme mes yeux, les pieds nus posés sur un chaise Christian revint du travail.
– « Bonsoir,Annick n’aie pas peur, je sens que depuis quelques jours tu as envie de poursuivre ce que nous avons fait dans le jardin et de te faire sauter par moi. J’ai bien remarqué ton manége l’ autre soir mais j’étais trop crevé par mes journée de travail mais ce soir je suis libre et super envie de te baiser et de cocufier ton mari allez viens monte chez moi si tu es d’accord. Comment refuser une invitation aussi sincère et de plus mon mari roupillant comme à son habitude à cette heure, je ne fis pas trop prier.
J’acceptais son invitation avec le sourire.
Il me fit passer devant lui craignant peut être que je files à l’anglaise mais aussi surtout pour admirer mon cul moulé dans mon panta court serré et qui se dandinait devant lui, il m’arréta à mi-étage et passa une de ses mains sous mon t-shirt je n’avais pas mis de soutif et celà l’excita encore plus, je le fis à la déformation de sa braguette. Les marches de l’escqlier en bois craquant sous nos pas, nous montions au premier étage sans faire trop de bruit afin de éveiller l’attention de la voisine.
Malgré celà , Christian ne cacha pas son plaisir de me tripoter les seins. Dès que je fus chez lui il me mena directement dans sa chambre, la fenêtre toujours grande ouverte, il me déshabilla rapidement et lorsque je fus nue devant lui, mes seins flasques et lourds tombant un peu, mon petit ventre au dessus de ma chatte aux poils grisonnants lui donna une érection immédiate .
Il me coucha sur son lit et avant de se mettre nu, il me bouffa seins et chatte à pleine bouche, ses mains palpaient mes mamelles, sa langue léchait ma cyprine, il était excité à mort, il se leva après un très long moment se mis nu et je vis sa queue remuer sans qu’il puisse la maintenir tranquille tant elle était excitée
– Mets toi sur moi Annick, empale toi sur ma queue et ne pense qu’à moi et à personne d’autre sinon à ton vieux que tu veux cocufier avec moi… Hein Annick tu aimes le cocufier avec ton Christian, ton beau breton de la Dombes…….
– Oui Christian tu le sais bien j’en rêve depuis si longtemps…………..
Il m’embrassa. Ses lèvres étaient tendres et douces, son baiser était d’une extrême sensualité. Je vis qu’il regardait mes seins, avide de les peloter. il fit descendre ses lèvres sur mes tétons. La sensation de sa langue était sans pareille. Je gémissais déjà de plus en plus fort. En même temps qu’il passa sa main sous mon sexe, son regard se fit animal. J’étais sa proie et je sentais que j’allais connaître une nuit de baise torride.
Lorsque qu’il cessa ses caresses, je me mis aussitôt à genoux devant lui. Son sexe était épais, très tendu. Je commençais par lécher son membre de bas en haut, sans oublier ses testicules. Puis je mis son gland dans ma bouche, faisant rouler ma langue dans tous les sens. Il m’agrippa la tête en même temps. Je l’entendais gémir, parfois murmurer quelques mots salaces. Je pris son sexe en entier dans ma bouche ce qui le fit gémir d’autant plus fort. En même temps que ma bouche faisait des va et vients sur son sexe, je le regardais droit dans les yeux, Il avait le sourire d’un prédateur, ce qui redoubla mon excitation.
Je m’exécutais à fond, le suçant doucement, ce qui le rendit fou d’excitation. Il m’allongea sur le lit et écarta mes cuisses. Il s’approcha lentement de ma chatte de telle façon que je sentis son souffle avant sa langue, ce qui me fit frissonner. Il fit mine d’hésiter un moment, afin de faire monter mon excitation, ne faisant qu’effleurer mon clitoris.
– « Tu en as envie hein ? »
– « Lèche-moi encore ! »
– « Montre-moi à quel point tu en as envie de ton Christian ce soir » me dit-il avec un sourire pervers. Je me serrais contre son torse, le couvrait de chauds baisers, caressait son sexe et collais mes seins contre lui tout en frottant ma chatte contre ses cuisses.
Christian ne bougeait plus, admirant le spectacle. Quelques grognements lui échappaient : « Oui vas-y continue, hmmm oui vas-y ». Je mis ensuite un doigt dans ma bouche, le léchant puis suçant longuement, malaxant ma poitrine en même temps. Je sentis qu’il se retint pour ne pas me pénétrer directement. Il me lécha comme personne, me donnant un premier orgasme.
Il s’assit un instant sur le bord du lit, histoire de reprendre son souffle. Mais je ne lui en laissais pas le temps. Je me mis à califourchon sur lui, empoignant son sexe. En même temps que je me frottais la chatte contre son gland, il me malaxait la poitrine.
– « Tu as des seins magnifiques Annick, des seins de maitresse que beaucoup de mecs aimeraient peloter comme je le fais…les meilleurs à baiser (je fais 95 Bonnet D). Hmmm tu vas voir comment je vais te faire jouir.»
Il m’allongea, et me pénétra très doucement. Puis ses coups de reins se firent plus rapides. Par la galce de son armoire faisant face au lit j’admirais son corps en train de me prendre aussi sauvagement, je regardais sa bite bien dure faire aller et venir en moi. J’aimais sentir son membre me défonçer la chatte, je gémissais comme une chienne, jamais je n’avais baisé d’une façon aussi animale. D’un coup, il me retourne à quatre pattes pour me prendre en levrette. Cette fois ci, il me pénètre brutalement.
– « Hmmm j’aime ta chatte humide
J’avais envie de lui répondre que j’aimais sa belle bite bien épaisse mais il m’était impossible de parler. Il se tenait droit et me tenait par les hanches, admirant mes fesses. Il me donna une fessée.
– « C’est comme ça qu’on traite les petites cochonnes dans ton genre. Tu crois que je ne t’ai pas vu te déshabiller à ta fenêtre ? Tu me faisais bander comme un taureau. »
Mon plaisir ne cessait de croitre, et il me donna un second orgasme. Je me mis ensuite à califourchon sur lui, m’empalant allégrement sur sa bite. Quand je sentis qu’il allait venir, je me suis retirée afin de souffler et pour ne pas jouir trop vite puis m’empala à nouveau sur son sexe. Nos gémissements jouissifs nous procuraient beaucoup de plaisir et de satisfaction. La chambre étaut pleine de nos gémissements, de nos odeurs sensuelles mélées, de son sperme et de ma liqueur………………
Puis il me baisa une grande partie de la nuit dans toutes les positions qu’il désirait. Je ne sais combien de fois il l’a fait mais dieu que c’était bon….J’étais transporté au 7éme ciel avec lui, je jouissais comme une folle sous les coups redoublés de sa queue, j’étais fière d’avoir été l’élue pour ce soir mais ne savait pas encore que tous les week-end je serais dans son lit et sautée, limée, défoncèe, par Christian ce bel homme qui se vanta par la suite de notre liaison sexuelle, fier de me sauter et égaement de bien cocufier mon cocu de mari.
Par la suite il me fit connaitre l’amour dans sa voiture qui bien que petite nous servait de refuge lorsque mon époux ne faisait pas la sieste. Je prétextais avoit envie d’une ballade seule et je rejoignais Christian sur le parking vers la gare et nous partions en campagne et là dans des endroits calmes et discrets il me baisait avec toute la fougue d’un amant qui attendait toute la semaine que je sois près de lui pour assouvir son penchant de maitre baiseur et cocufieur.
Nous échangons des baisers sonores et langoureux, ses mains agiles me pelotaient les seins d’une manière si délicates, qu’on aurait pu imaginerqu’ un souffle divin d’un doux vent d’été caressait ma poitrine tant Christian est doux dans toutes ses caresses. Sa langue et sa bouche s’abreuvait de ma liqueur, il jouait avec mes tétons, mes gros seins un peu flasques étaient la joie de ses mains et de ses baisers, mes fesses étaient pétris avec douceur mais cet homme délicat. Sa voix mâle, chaude m’envoutait et ses yeux noirs me faisaint tresaillir lorsquils me fixaient lors de nos rapports. J’étais devenue sa chose, son objet sexuel, sa maitresse attitrée, son Annick adorée et lui Christian mon frais Gât comme on dit en patois breton.
Quelle chance j’ai eue de mettre laisser séduire par cet homme exceptionnel, amoureux de la nature et de mes formes. Ceux qui nous reconnaitrons dans mes descriptions pourront apprécier notre bonheur.
Il ne reste plus que nous avons gravé sur un arbre connu de nous seuls come deux ados tant nous étions bien ensemble.